


Bio, mais ne fait pas partie du catalogue officiel
Libre de droit : se veut appartenir à tous le monde
Naturelle : n'a subit aucune modification génétique
Peut être replantée d'une année sur l'autre
Offre un très grand nombre de variétés
S'adapte au climat et territoire : moyen de résister aux aléas climatiques
Plantée en mélange, elles résistent aux attaques et maladies
Permet aux paysan.ne.s de pratiquer leur métier sans dépendre des multinationales
Permet d'obtenir des produit très nutritifs et bons pour la santé
Est reconnaissable par sa hauteur de paille unique
Elles sont échangées et racontées par les paysan.ne.s entre eux/elles.

« Nous avons reçu ces graines de la nature et de nos ancêtres.
Il est de notre devoir envers les générations futures de continuer à conserver et à partager nos semences. »
Vandana Shiva, docteur en physique quantique, féministe activiste indienne dans les semences.
« Les objectifs primordiaux sont de faire prendre conscience du rôle capital des semences dans notre agriculture et dans la préservation de la diversité.
Il y a une réelle menace d’appropriation de ces semences par une minorité à l’aide des brevets, mais aussi une menace de perte de la diversité. Nous devons donc construire des alternatives collectives face à ces menace. »
Florian, paysan membre de l’association Nature & Progrès



« La production agricole est un bien commun auquel tous le monde doit participer. De plus, face aux différentes crises il est important de former une communauté et de laisser la possibilité à des citoyens paysans de retrouver des savoir-faire (semer, moissonner à la main, etc …) »
François, ingénieur agronome chez Triticum.
« Les objectifs ne sont pas seulement de transmettre la semence paysanne : on souhaite également créer du lien, et transmettre des savoir-faire. »
Hélène, membre de l’association Graine de Noé.


« Les semences paysannes sont un compagnonnage entre une semence, et la femme et l’homme qui la cultive et qui la sélectionne parce qu’il va aimer son goût, son unicité, son histoire. Elles ont la capacité d’être reproduites par tout jardinier et agriculteur, chose que l’humain fait depuis sa sédentarisation. Cultiver ces semences, c’est garder la possibilité d’une autonomie alimentaire.»
Magalie Outtier, biologiste dans la semence paysanne aux Cévènes.
« C'est une bataille qu'il faut mener ensemble pour une meilleure agriculture dans le monde. »
Bart Staers, Eurodéputé du groupe Les Verts.




